Certains métiers qui disparaîtraient dans une EBR : le cas de la fonction publique
En France, en 2017, la fonction publique emploie 5,7 millions de personnes. Près de la moitié (44,1 %) travaille dans la fonction publique de l’État (FPE), 34,9 % dans la fonction publique territoriale (FPT).
Dans une EBR beaucoup de tâches administratives disparaîtraient, car elles sont le fruit d’une bureaucratie lourde et d’un système légal où beaucoup de lois cherchent à mettre des pansements sur un modèle économique qui ne marche pas.
Dans une EBR, plus besoin de faire des lois sur la CSG, sur les allocations chômage, sur le droit à la concurrence, sur les niches fiscales etc., car dans l’économie de demain ces termes n’auront plus de sens. Il est très difficile de calculer combien de postes nous pourrions économiser dans une EBR en dehors de l’enseignement et de la fonction hospitalière, mais avec un nouveau modèle économique plus efficient, beaucoup de tâches administratives n’auraient plus de sens. Par exemple, il n’y aurait plus besoin de services des impôts au stade final de l’EBR, ce qui représente 100 000 postes d’économisés.